VINS et PROVENCE(S)  - N°4 - JUILLET 2009 - PAGE 50 à 53

«Tranquille, un rien sauvage, donc. Mais encore ? Et bien, disons-le tout net : le Mas de Cabassude est beau ! Nathalie Vingot Mei, la décoratrice en charge de sa restauration, a fait du bel ouvrage. Rien d'ostentatoire, de clinquant, de faussement campagnard. Ca coule de source ! Sous les grosses poutres blanchies, des décors cossus, dominés par le gris perle, habités par l'âme provençale grâce à quelques meubles indigènes : un vaisselier, une commode, une table qui ont de l'âge ou, du moins, semblent l'avoir.

La bâtisse offre six chambres au total. Elles sont toutes élégantes mais deux ajoutent à ce raffinement une touche d'originalité. Il y a le mini dortoir des enfants qui, sous une voûte de pierres apparentes, abrite quatre petits lits et une explosion de couleurs vives.

Et puis, il y a la chambre voûtée. Elle est à l'écart de la maison, dans une petite annexe, voisine de la piscine.

Celle-là a du charme à revendre avec sa porte fenêtre en demi-lune qui ouvre grand sur la Sainte-Victoire, son parquet à grandes lames, sa salle de bains espiègle qui se cache à peine derrière une courte cloison de béton ciré. Un cocon, assurément !».

Laha Magazine - N°456 - JUIN 2009

«Nathalie a effectué un travail remarquable dans ce dortoir d'enfants, et cela, tout en conservant l'architecture initiale de cette pièce voûtée. L'atmosphère contemporaine de cet endroit ne nous prive pourtant nullement de sa chaleur (...)».

C DECO - N°35 - JANVIER / FEVRIER 2009 - PAGE 41

«Ancienne antiquaire, la décoratrice Nathalie Vingot Mei n'a pas son pareil pour transformer les intérieurs. Son secret : introduire des pièces anciennes dans son choix de mobilier, textiles et tableaux. Nathalie les chine avec passion pour apporter un surcroît de caractère et de douceur.».

ART & DECORATION - N°448 - JANVIER 2009 - PAGE 141 à 145.

«La décoratrice ne laisse rien au hasard. Peintures murales, textiles, patines des meubles et petits objets de décoration s'accordent dans les moindres détails et forment des compositions très abouties, pleines de poésie, dont émane comme un parfum de nostalgie (...)

Pour trouver l'objet juste, Nathalie chine à Aix, Avignon ou l'Isle-sur-la-Sorgue, mais n'hésite pas non plus à mélanger meubles anciens et modernes qu'elle fait patiner par des artisans (...)

Elle "monte" aussi volontiers à Paris, pour arpenter le marché Saint-Pierre à la recherche d'un tissu précis (...) ».